Libéré et placé sous contrôle judiciaire, Cheikh Yérim Seck a brisé le silence. Dans une vidéo postée sur son site « Yérimpost », le journaliste est revenu sur ses heures passés devant les enquêteurs. « J’ai signifié que j’ai été indigné après l’ampleur du débat, sur des enjeux aussi stratégiques pour le pays que l’énergie, la gouvernance, l’avenir ou encore le développement, qu’on me convoque pour me parler de cette famille, décidément intouchable, les Farés. Ça, je me suis indigné et j’e l’ai exprimé. J’ai aussi dit à ceux qui m’interrogeaient que je ne comprend pas que la gendarmerie a tracé des fonds qui sont extraits illégalement du circuit financier normal, légal et que les responsables de ces agissements sont connus et identifiés. C’est le groupe Farés, les Christian Samra…Au lieu de s’intéresser au fait central, à la contradiction principale, qu’on casse le thermomètre, par ce qu’on n’est pas content de la température », a-t-il fait savoir. Cheikh Yérim Seck a également déploré le comportement du ministre de la Justice. « Il est inconcevable que le ministre de la Justice, Garde des Sceaux, puisse se mettre à menacer. J’ai fustigé ces deux poids deux mesures , cette justice à deux vitesses », a-t-il ajouté.
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