Iratv :En ce début du 21e siècle, marqué par le développement harmonieux des nouvelles technologies de l’information et de la communication, nombreux sont les candidats aux élections législatives anticipées du 17 novembre 2024 qui refusent de se conformer à la modernisation du monde. Il est temps que nos dirigeants politiques comprennent que la campagne électorale n’est point un champ de bataille physique mais plutôt une occasion pour rivaliser au plan des arrguments. Attention, la violence est l’arme surtout des personnes qui ne jouissent pas de toutes les facultés mentales notamment en politique où elle n’a pas sa place.
Depuis le début de la campagne électorale, les candidats sillonnent le pays en vue d’obtenir le maximum de sièges à l’Assemblée Nationale. Et, ils ont tous compris que seul le peuple souverain décide de façon libre, transparente et démocratique pour le choix des Députés de la quinzième legislature. Alors, pourquoi toutes ces violence unitiles ? S’il s’agit de convaincre uniquement les électeurs, ont-ils besoin de se battre physiquement ? Qu’ils se le tiennent tous pour dit : les citoyens risquent de ne pas voter pour ces camps qui se distinguent dans la violence. Car, ces derniers ne méritent vraiment pas de sièger à l’hémicycle.
C’est pourquoi, nous les invitons à faire preuve surtout de responsabilité. Le Sénégal n’appartient pas à une minorité politique qui se trouve être très largement en retard, face aux populations. Dans un pays où presque tout le monde est connecté sur internet, il serait plus facile de mettre à profit ses nombreux acquis pour s’adresser facilement à son public, avec beaucoup plus de sécurité. L’exemple de la Coalition Takku Wallu avec le Président Macky SALL en est une parfaite illustration. Vous savez, le monde évolue et certains refusent de suivre cette réalité. La Covid-19 a démontré que certaines pratiques sont vraiment résolues.
A quelques jours de la fin de cette campagne électorale, aucune tête de Coalition ne s’est prononcée sur le cas des malades mentaux. Une situation que je regrette, ici, cette couche particulièrement vulnérable de la société devrait intéresser les futurs Députés de la quinzième législature. D’ici à vendredi, ils pourraient se manifester vis-à-vis de nos protégés. Evidemment, le Centre Ansoumana DIONE de Kaolack qui prend gratuitement en charge ces citoyens défavorisés, grâce aux soutiens de feu Ibrahima BEYE, ex-Maire de la Ville de Kaolack et des présidents Abdoulaye WADE et Macky SALL, est toujours fin prêt à les accueillir.
Kaolack, le 12 novembre 2024,
Ansoumana DIONE, Président de l’Association Sénégalaise pour le Suivi et l’Assistance aux Malades Mentaux (ASSAMM) – Tel : 77 550 90 82 – 70 745 88 47
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